Dans son rapport d’activité, Tracfin met notamment en lumière les risques de blanchiment de capitaux et de financement du terrorisme liés à certains types d’opérations et de secteurs économiques. Le monde des organismes sans but lucratif n’est pas épargné par ces dérives, puisque la structure associative sert de plus en plus de couverture à ce type d’activités frauduleuses, en particulier dans les secteurs de la formation professionnelle et des services à la personne à domicile (voir nos actus du 30 août 2012 : Tracfin : une activité 2011 en hausse et du 24 août 2012 : Déclaration de soupçon : un mouton noir chez les robes noires ? ).

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Sources :
Actualité du droit
31/08/2012

Consulter :
MINEFI, communiqué de presse, 22 août 2012, n° 071